Les représentants du RSI contre-attaquent et veulent défendre leur existence même, pourtant ce service est juste pitoyable et indigne d’un État de droit et se voulant moderne. Le RSI doit effectivement être « crucifié » sur place et exécuté. Il s’agit d’une image et d’une personne morale bien évidemment. Pas des salariés de cette institution !

Le plus pertinent c’est que le régime soit unique pour les salariés et les indépendants et que ces derniers aient exactement les mêmes droit y compris celui au chômage !

Bref, le RSI peut dire ce qu’il veut, payer autant de prestations d’attaché de presse qu’il souhaite, la réalité pragmatique c’est qu’il a lamentablement échoué en tout et qu’il a coûté de précieux points de croissance par son incompétence généralisée à notre pays. Alors dehors.

Voilà le résultat de l’action néfaste et catastrophique du RSI dans lequel il n’y a rien à sauver :

« Cet ancien entrepreneur garde encore tous ses échanges de courrier avec le RSI de Haute-Normandie. « Dans ce dossier, j’ai une mise en demeure d’un montant de 81 012 euros et 60 centimes. »

Problème, personne n’a pu lui expliquer pourquoi. « La seule réponse que j’ai c’est : « Monsieur vous nous devez cet argent, quoi qu’il advienne, vous le paierez. » Ma société a été liquidée en 2011, je ne suis propriétaire de rien et je suis infoutu de régler les sommes réclamées. »

L’ex-entrepreneur, père de 3 enfants, a repris une activité de salarié mais il est en train de déposer un dossier de surendettement. À 68 jours du premier tour, il adresse un message aux candidats à la présidentielle : « Moi je leur dis qu’il faut arrêter les conneries, c’est une priorité pour aider les commerçants, les artisans et les jeunes chefs d’entreprise. »

Aujourd’hui, André a des idées plein la tête pour relancer une entreprise mais, traumatisé par le RSI, il ne se lancera plus jamais dans une telle aventure. »

Charles SANNAT

Source RMC ici

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