Certes Trump n’en a pas besoin car il est milliardaire ! Pourtant, j’en connais des bonnes âmes plutôt situées à gôche… Enfin, comme on dit, si le cœur est à gôche, le portefeuille, lui, est plutôt à droite.

Ces bonnes âmes qui vilipendent Trump mais continuent à se faire payer grassement sur la dette publique que l’on nous charge d’alimenter avec notre argent. De bons socialistes, bien aimables, bien-pensants à souhait avec le pognon des autres.

Des associations dégoulinantes de politiquement correct et d’étouffement de toute pensée un peu différente, chien de garde d’un système aux abois et qui aboie voire mord pour sa propre survie.

Des « engagés » devenus sénateurs, commissaires européens ou députés de Bruxelles où la soupe est bien bonne.

De tout ceux-là, rares sont ceux à renoncer à la paye. D’ailleurs, je ne connais pas un exemple de refus.

Pas une femme ni un homme, tous égaux dans l’appât du gain, à vous désigner comme exemple. Et encore, je ne parle même pas de ceux qui fraudent, qui trichent ou qui s’évadent fiscalement.

Il n’y a pas à dire, Trump est vraiment un populiste, mais un populiste qui lui au moins n’a pas besoin du pognon du peuple.

N’oubliez pas cette définition charmante qui consiste à être généreux avec l’argent des autres… Rassurez-vous, les faux libéraux ne valent pas mieux pour d’autres raisons.

Au fait, vous connaissez le salaire d’Hollande ?

Charles SANNAT

Le refus de Donald Trump de toucher 400 000 dollars de salaire annuel, qui a constitué un des grands arguments de sa campagne présidentielle, a fait couler beaucoup d’encre. Après avoir été élu le président des États-Unis, joindra-t-il l’acte à la parole ? Aux États-Unis, le président touche 400 000 dollars par an (368 000 euros), soit 33 333 dollars qui tombent chaque mois dans la poche du locataire de la Maison Blanche sans compter les frais de voyages et de protection.

Avec une fortune estimée à 3,7 milliards de dollars, le président élu, Donald Trump, ne semble pas avoir réellement besoin de son salaire de président.

Selon le journal The Independant, l’homme d’affaire déclarait en septembre dernier qu’il ne toucherait pas un centime du salaire dû à la fonction présidentielle : « La première chose que je vais faire en tant que le président, c’est de renoncer à tout salaire. Ça n’a pas d’importance pour moi », a déclaré Donald Trump lors d’un rassemblement avec ses électeurs le 17 septembre 2015.

C’est ce qu’il a encore répété il y a quelques semaines, lors d’une session de questions-réponses sur Twitter.

Donald Trump n’est pas le premier président américain à renoncer à toucher son salaire: les présidents Herbert Hoover (1929-1933) et John F. Kennedy (1961-1963) ont également pris la décision de donner leurs salaires à des œuvres de charité.

Selon les lois américaines, le président américain obtient pour ses services une indemnité totale de 400 000 par an payée sur une base mensuelle. En outre, il reçoit une allocation de 50 000 dollars pour défrayer les coûts associés à l’exercice de ses fonctions, souligne le journal.

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