Ce n’est même plus Retour vers le futur, mais le futur c’est maintenant !

La révolution technologique de la robotique et de l’informatique est en marche et de très nombreux postes vont être supprimés !

L’enjeu de la voiture, des camions ou bus sans chauffeur, c’est d’économiser évidemment le coût du chauffeur.

Ainsi, exit les taxis, les « zubers » ou encore les camionneurs ou autres chauffeurs de bus. Il s’agit de millions d’emplois qui vont disparaître non pas dans 20 ans mais d’ici 2020.

Et c’est une révolution qui va permettre d’économiser des dizaines de milliards d’euros.

Préparez-vous et pensez à votre employabilité.

Charles SANNAT

La ville va tester pendant un an un service de navette avec des mini-bus autonomes.

Déjà expérimentées dans d'autres villes de l'Hexagone, les navettes Navya vont être testées à Lyon. AFP
Déjà expérimentées dans d’autres villes de l’Hexagone, les navettes Navya vont être testées à Lyon. AFP

Un service de navettes autonomes, électriques et sans conducteur, est lancé vendredi à Lyon pour être expérimenté pendant un an dans le nouveau quartier de Confluence. Deux navettes « Arma » de la société française Navya, dont un prototype avait été testé en 2013 sur la colline de la Croix-Rousse, doivent desservir en rotations de 10 minutes les cinq arrêts de la ligne mise en service entre l’Hôtel de Région et la pointe de la Presqu’île de la ville, côté Saône.

Longue de 1,3 kilomètre et baptisée Navly, la desserte sera ouverte au public ce week-end de 10H00 à 17H00 puis du lundi au vendredi, de 07H30 à 19H00, à partir du 5 septembre. Une quinzaine de personnes au total peuvent être transportées dans chaque véhicule.

Développé par le groupe Keolis, l’exploitant du réseau des Transports en Commun Lyonnais (TCL), et Navya, spécialiste des solutions de mobilité innovantes, le projet « répond aux enjeux de la desserte du dernier kilomètre », souligne Pascal Jacquesson, directeur général de Keolis Lyon. Soutenue par la Métropole de Lyon et validée en juillet par le ministère de l’Écologie, cette « desserte fine » doit compléter l’offre locale de tramway et de bus des TCL à l’attention notamment des « salariés des grandes entreprises et des institutions administratives et culturelles du quartier », explique-t-il.

« Cette période d’un an est destinée à tout tester, de la technique au modèle économique » qui reste à déterminer, indique pour sa part Christophe Sapet, président de Navya dont le siège est à Villeurbanne. Limitée à une vitesse de 20 km/h pour le service, la navette Arma est un bijou de technologie à 200 000 euros pièce, équipée de caméras de guidage en stéréovision, de capteurs laser, d’un GPS et d’une autonomie de six à huit heures.

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